vendredi 29 juin 2012

Ne me laissez pas retourner chez mon tortionnaire

Un cri du coeur

Voici mon histoire,

Je m'appelle Wolf, je suis de ceux qui n'ont pas eu la chance de naître sous une bonne étoile.
J'ai été adopté à l'âge de 3 mois puis abandonné à plusieurs reprises.
Imaginez ma tristesse face à tant de rejet... mais ça, ça n'était que le début de mon calvaire...

Un jour, la grille de mon box s'ouvre, "chouette une nouvelle famille pour moi!!!", j'allais tout faire pour me faire aimer et qu'on ne m'abandonne plus jamais...

J'ai vite compris que cette porte ouverte, était une porte vers l'enfer...

Je n'ai plus jamais été abandonné, à la place j'ai connu des années d'enfermement, la solitude, la faim, la violence...
J'étais si malheureux, mais avais-je le choix???

J'ai vu mes maîtres torturer à mort mon compagnon d'enfermement. Son corps gisait, inanimé à côté de moi...

J'étais plus fort, j'ai résisté durant de longues années à ces coups, à cette violence, à cette indifférence...

Peu à peu mon regard s'est éteint, j'attendais que mon calvaire prenne fin, j'étais résigné.

J'étais enchaîné, avec ce collier à pique qui me rentrait dans le cou et qui me faisait souffrir. Ma laisse était tellement courte que je ne pouvais m'allonger, je vivais... que dis-je, je survivais et dormais assis toute la journée au milieu de mes excréments.

Je n'avais connu que la dureté du béton, du bâton, des coups de poing...

Un jour, je remarque qu'un visage qui ne m'était pas familier, m'observait avec beaucoup de tristesse.
Je lui ai hurlé ma douleur, j'avais presque l'impression qu'elle pouvait me comprendre.

Une nuit, cette personne, n'écoutant que son coeur, est venue me délivrer, elle m'a emmené loin de cet enfer!!!

Je me souviens que nos 2 coeurs battaient à mille à l'heure cette nuit là. Dans la voiture elle semblait heureuse mais soucieuse. Je me suis collé fort contre elle. On s'est aimé immédiatement.

Une fois en sécurité, elle n'a pas tardé à me retirer cet affreux collier et à me mettre un joli harnais qu'elle avait acheté rien que pour moi.

Puis elle m'a emmené faire une longue balade. J'avais les griffes tellement longues que j'avais du mal à marcher. Le béton du trottoir me faisait mal... et soudainement j'ai senti sous mes pattes une matière que je ne connaissais pas...
C'était si agréable, si doux...c'était de l'herbe, de la terre....

Je me suis mis à gratter, à gratter, à gratter si fort que j'ai fais un gros trou... Je me suis arrêté, j'ai regardé celle qui venait de me sauver, son regard était si tendre et si triste à la fois... elle savait sans que je ne dise un mot...

Puis nous sommes rentrés, j'avais envie d'une caresse, mais n'ayant connu que la violence, dès qu'elle tendait sa main vers moi, j'étais terrorisé!!!

Les jours ont suivi, elle m'a amené partout avec elle, j'ai découvert, le sable, la mer, les canards, les autres chiens, les parcs et tant d'autres choses...

Je me sentais en confiance, et j'ai osé baisser ma garde et la laisser me câliner... j'ai enfin ressenti ce qu'était la douceur d'une caresse... Elle m'a serré contre elle, m'a dit des mots doux, j'étais son grand bébé, je savais qu'elle prendrait soin de moi...

Enfin c'était le paradis, la vrai vie!!!

La chaleur de son amour me rendait si heureux. On s'est aimé dès le premier contact et je savais qu'elle ne laisserait plus jamais une personne me faire du mal...

Je l'entendais au téléphone, elle appelait les personnes qui avaient promis de l'aider pour moi et j'ai vite compris qu'en fait tout le monde l'avait abandonné...
Elle vivait en appartement et voulait mieux pour moi... une gentille famille, un grand jardin (et oui j'ai besoin de beaucoup me dépenser, vous comprendrez sûrement pourquoi), même si ça lui arrachait le coeur de nous imaginer loin l'un de l'autre...

Plus les jours passaient, moins il était envisageable de nous séparer.
Mais lorsqu'elle était au travail, je supportais mal la solitude, alors je pleurais jusqu'à son retour... les voisins ont alors menacé de porter plainte... elle ne savait plus quoi faire!!!

Puis toutes les tensions nerveuses que j'ai ressenti durant des années se sont estompés car je me sentais enfin bien... mais du coup je suis tombé malade..

Elle m'a emmené voir une dame, je crois que ça s'appelle un vétérinaire, qui l'a aidé à me soigner.
Mais tout s'est enchaîné et j'ai dû régulièrement y retourner... Elle n'avait pas les moyens de payer tous ces traitements, alors elle a fait un appel aux dons... mais personne ne l'a entendu...

Elle ne pouvait me laisser dans la souffrance alors elle a fait comme elle a pu... et je l'ai vu perdre 8 kilos en 1 mois...
Elle était devenu tellement faible... un jour elle est tombée par terre... Ces yeux étaient fermés, elle ne bougeait plus... En tombant son téléphone avait glissé loin d'elle sur le sol, quand elle a ouvert les yeux, j'étais si heureux et j'ai compris que c'était à mon tour de prendre soin d'elle...
J'ai pris son téléphone dans ma gueule et je lui ai glissé dans la main. Je l'ai aidé à se relever pour qu'elle puisse se glisser dans son lit, elle a appelé le médecin et quand il est arrivé je lui ai ouvert la porte...
Elle avait fait un malaise cardiaque... Elle est atteinte de 2 pathologies grave depuis des années, il était urgent qu'elle se repose...

Mais nos longues balades l'avaient fatigué!!! Mais elle s'en fichait, la seule chose qui pouvait la rendre heureuse c'était de me voir heureux...

Sa santé a empiré, son compagnon lui a demandé de faire un choix entre lui et moi, entre lui et le combat contre la maltraitance... Et devinez quoi???

Elle m'a choisi, elle a choisi de se battre...

Ne pouvant plus s'occuper de moi, se retrouvant en logement provisoire avec des voisins menaçant de porter plaintes, elle m'a trouvé une nounou qui me gardait gratuitement, elle m’amenait le matin et venait me rechercher le soir.
Mais je ne supporte pas d'être seul, alors quand la nounou n'est pas là je chaparde dans la poubelle ... et la nounou ne peux plus me garder à présent...

Et ma sauveuse se retrouve dans une impasse... si aujourd'hui elle ne trouve pas de solution on lui a dis qu'on me mettrait à la SPA...

Elle est si malheureuse, elle pleure depuis ce matin, elle ne sait plus quoi faire...
Alors je vous écris pour vous dire qu'à présent c'est elle qui a besoin d'aide pour m'aider...

Aidez là, ne laissez pas la méchanceté ou l'indifférence l'abattre...
Elle a besoin de vous... j'ai besoin de vous...

Nous ne supporteront pas un retour chez mon tortionnaire, ça me tuerai... ça la tuerai...

Tout aide est la bienvenue merci de contacter Cathy Nini sur sa boite facebook perso

Nous comptons sur vous !!!!
Ne soyez pas indifférents à la souffrance !!!

Besoin d'une aide dans le 33 gironde, une nounou qui pourrait me garder gratuitement serait l'idéal !!

Mais c'est bien difficile à trouver ... Si vous le souhaitez un don aussi minime soit il : 1, 2 ou 5 €, sera le bienvenue pour aider à régler la nounou en attendant que nous soyons installés dans notre chez nous !!!
adresse paypal : cathy.moulard@hotmail.fr

Merci de cocher : Cadeau à la famille pour éviter que des frais soient ponctionnés dessus !!


PS: Sur la photo ma gueule est caché par sécurité
 

dimanche 17 juin 2012

dimanche 10 juin 2012

Végétariens : et s’ils avaient raison ?

Article de Terra Eco :


Végétariens : et s’ils avaient raison ?

(Crédit photo : rafaël trapet - picturetank)
 
Ne plus faire souffrir les animaux, refuser leurs conditions d’élevage, réduire son impact écologique sur la planète. Les raisons qui poussent un nombre croissant de Français à se détourner de la viande ne manquent pas. Et la minorité, souvent moquée, devient tendance. La bidoche cessera-t-elle bientôt d’être un horizon indépassable pour notre assiette ?
Le Baromètre de cet article






Article publié dans le magazine
"Végétariens : et s’ils avaient raison ?"
Une vague végétarienne déferle-t-elle sur la France ? Pas si vite. On est encore très loin d’un raz-de-marée tofu-graines germées. Les chiffres en la matière sont rares. L’Union végétarienne européenne avance qu’au pays du bœuf bourguignon le nombre de végétariens tourne autour de 2 % de la population. Ils seraient 3 %, selon notre sondage (lire ici). Ce qui place la France en queue de cortège européen. Ils sont en effet 6 % au Royaume-Uni, 9 % en Suisse et en Allemagne. Pas de quoi craindre l’extinction des boucheries. Pourtant, le végétarisme marque des points dans l’Hexagone ces temps-ci. Des indices ? On vous les donne pêle-mêle. Le nombre d’adhérents à l’Association végétarienne de France a doublé en trois ans.
Un joli logo « Convient aux végétariens » a fait son apparition sur une sélection de produits surgelés de la chaîne de supermarchés Picard. Dans la capitale, il n’y a pas si longtemps, les rares restos sans chair animale dans l’assiette faisaient fuir les gourmets avec leurs jus de carotte fadasses et leur triste riz complet macrobiotique. Mais depuis peu fleurissent des adresses bien plus attirantes. « Un vent de glamour, venu des pays anglo-saxons, souffle sur la planète veggie parisienne », écrit même Alcyone Wemaëre, auteure d’un indispensable guide Paris végétarien (Parigramme, 2012).
Glamour, les végétariens frenchy ? Pas tant que ça. Chez nous, pas de Natalie Portman, l’actrice oscarisée, ou de Paul et Stella McCartney, l’ex-Beatle et sa fille styliste, pour faire l’apologie de la vie sans viande. Non, ce que nous avons – depuis peu –, ce sont des intellos qui font leur coming out végétarien, avec des arguments philosophiques.
Le coming out des gens de lettres
Marcela Iacub, juriste, essayiste et chroniqueuse dans Libération est connue pour bousculer les idées reçues, sur la sexualité notamment. Mais l’an dernier, dans son ouvrage Confessions d’une mangeuse de viande (Fayard), c’est en végétarienne subitement convertie qu’elle surprend. Cette Argentine élevée comme il se doit à la parrilla, le barbecue local, à qui les bouchers parisiens faisaient de l’œil tant sa passion pour leur art était grande, a subi un choc profond en lisant un texte de Plutarque, Manger la chair.
Le grand patron de l’hebdomadaire Le Point, Franz-Olivier Giesbert, connaît lui aussi ce texte de Plutarque. Mais son dégoût pour les animaux morts lui vient, à l’origine, de son amour pour saint François d’Assise. Il consacre à son statut de végétarien quelques chapitres de son dernier essai, paru au début de l’année, Dieu, ma mère et moi (Gallimard). Alors, non, c’est vrai, tout ça ne forme pas un raz-de-marée végétarien… Mais on peut, sans trop exagérer, parler d’une nette tendance. La meilleure preuve ? Elle nous vient de l’industrie de la viande elle-même. René Laporte et Pascal Mainsant ont tous les deux fait leur carrière dans le secteur, sont membres de l’Académie de la viande – un organisme chargé d’en faire la promotion – et viennent de signer La viande voit rouge, chez Fayard. Ce qu’ils appellent le « front antiviande » – cette « sorte de galaxie de la cause “ animalitaire ” et environnementale » – fait, selon eux, beaucoup de bruit. Et ça les énerve.
Prise de conscience
Les deux auteurs essayent, avec plus ou moins de bonne foi, de démonter les arguments « anti-viande ». Pour eux, tout va bien, on peut continuer comme si de rien n’était. Il n’y a pas de souffrance dans les abattoirs. On peut nourrir la planète, avec 9 milliards d’humains en 2050, en consommant toujours autant de viande. La FAO, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, qui rend l’élevage responsable de 18 % des émissions de gaz à effet de serre ? Elle exagère, tout simplement.
Il faut dire que les charges médiatiques contre l’industrie de la viande se sont multipliées ces derniers temps. Il y a eu l’enquête Bidoche de Fabrice Nicolino en 2009 (aujourd’hui en poche, chez Babel) décrivant un « système échappant à tout contrôle social et moral ». En 2010, c’est le Faut-il manger les animaux ? (L’Olivier) de Jonathan Safran Foer qui a frappé les esprits. Au terme d’une longue et passionnante plongée dans l’élevage industriel et traditionnel, l’écrivain américain conclut que « la viande éthique est une promesse, non une réalité » et prend la décision de devenir végétarien. En 2011, on a pu lire encore dans Le livre noir de l’agriculture, d’Isabelle Saporta (Fayard), l’abominable calvaire subi par les cochons avant de devenir lardons. La télé aussi s’y met et à des heures de grande écoute. Arte passait une soirée entière en mars dernier à nous demander « Faut-il manger de la viande ? » Et un mois plus tôt, Envoyé spécial, sur France 2, diffusait un reportage baptisé « La viande dans tous ses états » qu’il était déconseillé de montrer aux moins de 10 ans. Et pour cause : on y voyait des scènes de souffrance animale insoutenables. On y apprenait aussi que 30 des 275 abattoirs français présentent des défauts importants, voire graves, et devraient être fermés, selon l’Union européenne !
Emotions et barquettes en plastique
Impossible de se confronter à ces réalités, puis de mettre un bifteck dans son assiette sans malaise. Impossible, si l’on commence à regarder son jambon en face de ne pas s’interroger sur la crise écologique et sur notre rapport aux animaux. 75 % des personnes que nous avons sondées affirment être végétariennes pour ne pas les faire souffrir. C’est la principale motivation. Pas étonnant. Car, dit en substance la philosophe Florence Burgat, auteure d’Une autre existence : la condition animale (Albin Michel, 2012), notre époque vit un paradoxe violent.
D’un côté, on prend conscience que les animaux ont des émotions aussi complexes que les nôtres. De l’autre, les milliards de bêtes que nous tuons chaque année nous apparaissent sous forme de simples produits, dans des barquettes en plastique ! Alors les végétariens ne sont pas encore légion, certes. Mais leur mode de vie nous met face à nos contradictions. Les questions qu’ils soulèvent se glissent de plus en plus dans le débat sur notre alimentation. Et si on commençait à y réfléchir sérieusement ? A table ! —



mardi 5 juin 2012

Grosse urgence pour sauver 40 chats de maladies et d'un tortionnaire

S'il vous plait, donnez pour aider ces pauvres chats qui sont capturés pour servir de jouets à un chien. Même 1€ est utile. Et rappelez-vous : 66% de vos dons sont déductibles de vos impôts.

Article de Clicanimaux :



ILS SONT 40 ET ATTENDENT VOTRE AIDE...



« Le propriétaire capture les chats pour
les donner comme jouet à son chien... »


Montant : 180 € / 4000 €
4%
Partagez : Tweeter ! (578) 44



Je fais un don pour
40 CHATS
3 € 10 € 20 € 30 € 50 €
Autre montant :
31
de 40 CHATS

 100 EUROS = LA VIE D'UN CHAT
VOUS POUVEZ LES SAUVER !
Dehors, ils sont en danger de mort...
A l'intérieur, ils sont exposés à de graves maladies...
Il y a urgence, sauvons-les avant que la situation n'empire davantage !
 

L'Ecole du Chat Libre de l'Indre a reçu un appel désespéré d'une dame de 82 ans, suppliant d'aider son fils, Pascal, qui est une personne très dévouée mais malheureusement handicapée, et ses quarante chats. Son histoire est bouleversante...

Pascal est locataire d'une maison dans la Brenne depuis 12 ans. A son arrivée, une centaine de chats vivaient dans les champs et autour de la maison. Beaucoup ont disparu... Le propriétaire les capturait à l'aide d'une cage et les donnait à son chien. Aujourd'hui, environ 20 chats sont enfermés dans la maison, et 20 autres plus sauvages à l'extérieur, donc en danger de mort. L'association ne peut pas prendre le risque de rencontrer ce propriétaire sadique, de crainte qu'il ne tente de se venger encore plus sur les chats...

Aucun d'entre eux n'est stérilisé. Pascal, n'ayant pas les moyens de payer autant de stérilisations, donne la pilule à 28 chattes tous les 15 jours ! Malheureusement, il y a eu de nombreuses naissances dans la maison et dans les granges. Pascal n'a également pas les moyens de soigner ses chats qui souffrent pourtant de maladies graves et contagieuses...


Beaucoup d'entre eux ont besoin de soins : deux petits souffrent d'un coryza persistant, quatre adultes ont un glaucome, un autre est aveugle, une chatte a une grosseur sous le ventre, une autre a la bouche déformée à cause de problèmes dentaires et de gingivites, tandis qu'un matou a des calculs rénaux. Il est difficile de connaître l'état de santé exact pour chacun de ces 40 chats, tous plein de vers et de puces. Mais une chose est certaine : en plus des stérilisations, ils sont nombreux à devoir être soignés, et ce le plus rapidement possible.

Le danger est ainsi double : être la proie des maladies à l'intérieur de la maison, ou être la proie du voisin à l'extérieur !

Pascal fait tout son possible et se prive beaucoup pour ses petits compagnons, mais ses allocations d'adulte handicapé ne lui suffisent maintenant plus pour assumer les frais vétérinaires extrêmement lourds.

Face à l'urgence de la situation, l'association a d'ores-et-déjà commencé les stérilisations. Le vétérinaire pourra ainsi ausculter les chats durant leur anesthésie pour dresser un bilan de santé, et envisager les soins ou opérations nécessaires.

8 chats ont déjà été vus par le vétérinaire : ils étaient tous infestés de puces et de vers, et ont donc été traités et vermifugés. Parmi eux, une femelle souffrait d'une infection utérine, qui a obligé le vétérinaire à pratiquer une hystéro-ovariectomie.

L'objectif de l'Ecole du Chat Libre de l'Indre est de faire stériliser et soigner les 40 chats.

Il est plus que nécessaire de stopper toutes ces naissances, ainsi que toutes les bagarres dangereuses et transmissions de maladie qui en découlent. Mais cette prise en charge est énorme et ne peut être assumée par l'association, qui, malgré sa petite structure, a déjà beaucoup trop de dépenses pour ses pensionnaires actuels, et ne reçoit aucune aide financière. La prochaine étape pour Pascal sera de trouver une autre location à la campagne, où ses chats pourraient profiter de la nature en toute tranquillité.


Vos dons et Appels du Coeur permettront de financer la stérilisation des 40 chats, les tests, les vaccins, les puces électroniques pour les plus jeunes (qui seront proposés à l'adoption), les vermifuges, les traitements anti-puces, les soins et les médicaments.

4000 euros sont nécessaires pour
rendre ce sauvetage possible !

Merci à tous pour votre soutien !


Fondée en 2004, l’association de l'Ecole du Chat Libre de l'Indre a pour objectif de sauver les chats errants de la banlieue parisienne. Les chats sont accueillis sur un terrain spatieux, où ils ont tout loisir de s'ébattre en semi-liberté. L'association dispose également d'un terrain clos pour héberger les chats dans un grand chalet en bois muni d'électricité et de chauffage.


ECOLE DU CHAT LIBRE DE L'INDRE
3, la blanchardière
36180 HEUGNES
Tél. : 02 54 39 02 45
Email : p-lavigne@orange.fr

dimanche 3 juin 2012

La chaine "Animal Planet" et Whale Wars

 J'ai deux découvertes.
La première est la chaine "Animal Planet", qui, comme son nom l'indique, se consacre aux animaux. Je l'ai découverte par Seasheperd. Je cherchais des reportages sur leurs actions.






J'ai trouvé sur Animal Planet ma deuxième découverte : Whale Wars (la guerre des baleines) qui est un documentaire sous forme de feuilleton suivant Paul Watson et son équipe dans leur lutte contre les chasseurs de baleines. La cinquième saison débute ce mois-ci.

 

Devant l'intérêt des spectateurs, la chaine a également développé "Whale Wars Viking shores", qui Seasheperd dans sa lutte contre le massacre des globicéphales par les habitants des îles Féroé - Le Grind - , et "Seal Wars", qui suit le Seasheperd dans son combat contre le massacre des phoques.

  Le Grind aux îles Féroé

La mer rouge de sang à la fin du Grind




Vous pouvez aussi trouver d'anciens épisodes sur la chaine d'Animal Planet sur Youtube ou sur les chaines de Seasheperd France et Seasheperd International, toujours sur Youtube.






Whale wars



Seal wars est un documentaire d'une heure qui sera diffusé en juin sur Animal Planet sur la mission de Seasheperd en 2011






Certains cris sont silencieux

Voici le nouveau spot de la PETA :

Certains cris sont silencieux.





Lien officiel : http://features.peta.org/silentscream/

Voici le texte sur le lien de la PETA, je vous le traduis juste en dessous :

"Bullying and other forms of violence don't just happen in schoolyards and alleys—they also happen every day in kitchens around the world. Fish killed for food are often skinned and gutted while they're still alive, with no consideration given to the pain and suffering they endure. Studies have found that fish not only feel pain but also anticipate, fear, and attempt to avoid it, just like humans do. We don't hear their screams, but their pain is very real. Please consider the lives of fish and all animals—go vegan today."


"L'intimidation et les autres formes de violence n'arrivent pas que dans les cours de récréation et les ruelles - elles arrivent aussi tous les jours dans les cuisines autour du monde. Les poissons tués pour la nourriture sont souvent dépecés et évicérés alors qu'ils sont toujours vivants, sans qu'aucune considération de la douleur et de la souffrance qu'ils endurent ne soit prise en compte. Des études ont montré que, non seulement les poissons ressentent la douleur mais, également, ils l'anticipent, ils en ont peur et ils essayent de l'éviter, exactement comme les humains le font. Nous n'entendons pas leurs cris mais leur souffrance est très réelle. Sil vous plait, prenez en considération les vies des poissons et des autres animaux, devenez végétariens dès aujourd'hui."

Scandaleuse chasse canadienne aux phoques: qu'attend la suisse pour fermer ses frontières?

CETTE CRUAUTÉ DOIT CESSER! c'est une fondation Suisse qui le demande aussi et dénonce le fait que la Suisse continue à importer des peaux et produits dérivés de phoque, alors que l'Europe n'autorise plus cette importation