dimanche 13 avril 2014
Le jardin des plantes
Un arbre de Judée :
Des pivoines immenses :
J'adore les corneilles, elles sont très intelligentes. Un jour, au parc de Sceaux, l'une d'elle a joué avec la fille de moins de deux ans d'amis. La petite s'est mise à lui courir après, au lieu de fuir, la corneille a marché en rond. Quand la petite s'arrêtait, la corneille s'arrêtait et se tournait vers la fillette en attendant qu'elle redémarre.
La photo est un peu floue mais cette corneille voulait clairement poser, elle est venue se mettre devant moi pendant que je faisais des clichés :
Je ne sais pas si on voit bien les pétales qui tombent :
Une seule branche de cet arbre était encore très en fleur
Un petit tour au jardin du Luxembourg en rentrant
(Photos : Le monde en vert, all rights reserved)
mercredi 2 avril 2014
Article de 20 minutes sur l'arrêt de la chasse à la baleine
Le Japon va arrêter la chasse à la baleine dans l'Antarctique
Créé le 31/03/2014 à 12h00 -- Mis à jour le 31/03/2014 à 15h36
PLANETE - Comme le lui a officiellement demandé la Cour internationale de justice...
Le
Japon doit arrêter la chasse à la baleine dans l'océan Antarctique, a
ordonné lundi le plus haut organe judiciaire des Nations unies, estimant
que Tokyo y mène une activité commerciale
en la faisant passer pour de la recherche scientifique. «Le Japon doit
révoquer tout permis, autorisation ou licence déjà délivré dans le cadre
de Jarpa II (programme de recherche) et s'abstenir d'accorder tout
nouveau permis au titre de ce programme», a déclaré le juge Peter Tomka,
président de la Cour internationale de Justice. «Les permis spéciaux ne
sont pas délivrés en vue de recherche scientifique», a soutenu le juge
Tomka lors d'une audience au Palais de la Paix, à La Haye.
Le Japon, bien que «profondément déçu», respectera la décision du
plus haut organe judiciaire des Nations unies lui ordonnant d'arrêter la
chasse à la baleine dans l'Antarctique, a assuré lundi le chef de la
délégation nippone devant la Cour internationale de Justice. «En tant
que pays respectant l'Etat de droit (...) et membre responsable de la
communauté internationale, le Japon respectera la décision de la Cour», a
déclaré Koji Tsuruoka à des journalistes à la sortie de la salle
d'audience.
Plus de 10.000 baleines tuées
La Cour a de la sorte donné raison à l'Australie. Celle-ci avait
saisi la CIJ en 2010, affirmant que le Japon pratiquait une chasse à
l'échelle commerciale sous couvert d'un programme de recherche
scientifique. «Des considérations financières, plutôt que des critères
purement scientifiques, sont intervenues dans la conception du
programme», a affirmé le juge Tomka, pointant notamment du doigt
le «manque de transparence» dans l'établissement de quotas «non
raisonnables».
Estimant que Tokyo détournait un moratoire de 1986 n'autorisant la
chasse à la baleine qu'à des fins scientifiques, Canberra avait demandé à
la CIJ d'ordonner au Japon l'arrêt de son programme de recherche Jarpa
II. Le Japon, pour qui la chasse à la baleine est une tradition
ancestrale, soutient de son côté que ses activités sont scientifiques,
mais ne cache pas que la chair des baleines chassées termine sur les
étals nippons.
Selon Canberra, le Japon a chassé plus de 10.000 baleines entre 1987
et 2009, principalement des petits rorquals (baleines de Minke). Japon
et Australie ont tous deux assuré qu'ils respecteraient le jugement,
quel qu'il soit. Les militants de l'association Sea Shepherd suivent de très près les débats
devant la CIJ, eux qui harcèlent les baleiniers japonais dans
l'Antarctique pour les empêcher de chasser, une pratique pouvant mener à
des affrontements musclés. En avril 2013, le Japon avait indiqué que le
nombre de baleines chassées en Antarctique lors de la campagne
2012-2013 était au plus bas en raison du harcèlement permanent des
écologistes.
Victoire pour les baleines grâce à Seasheperd!
VICTOIRE POUR LES BALEINES !! La Cour
Internationale de Justice de la Haye ordonne au Japon de révoquer tout
permis autorisant la mise à mort de baleines sous prétexte scientifique
!!!
Commentaire de Seasheperd :
La Cour Internationale de Justice de la Haye. Photo: Wikimedia Commons C’est
une incroyable victoire pour les baleines, la Cour Internationale de
Justice (CIJ) de la Haye a rendu son verdict aujourd’hui dans le cadre
du procès opposant l’Australie au Japon, déclarant que le programme
japonais de recherche sur les baleines (JARPA II) en Antarctique n’a
rien de scientifique, et a ordonné au Japon de révoquer tout permis
délivré dans le cadre de JARPA II. La décision a été largement applaudie
et fêtée par Sea Shepherd Conservation Society USA et Sea Shepherd
Australie, qui ont toutes deux mené des interventions directes en
Antarctique contre les baleiniers japonais. Etaient présents dans la
salle d’audience pour représenter Sea Shepherd et entendre le verdict
historique Alex Cornelissen, directeur général de Sea Shepherd Global et
Geert Vons, directeur de Sea Shepherd Pays-Bas. Ils étaient accompagnés
par l’avocat néerlandais de Sea Shepherd Global.
Une baleine de Minke jette un coup d’œil à la surface. Photo: Sea ShepherdAvant
le verdict, quelques rumeurs circulaient selon lesquelles la CIJ
interdirait la chasse aux espèces protégées de rorquals et baleines à
bosse, mais autoriserait en contrepartie la chasse aux baleines de
Minke. Cependant, Sea Shepherd a tenu à défendre tout au long du procès
le fait que quelle que soit l’espèce, aucune baleine ne devrait être
tuée, notamment au sein d’un sanctuaire. Le mot "Sanctuaire" signifie
"refuge, lieu de sécurité; une réserve naturelle", où les animaux sont
protégés. Autoriser la chasse au sein d’un sanctuaire internationalement
établi, c’est se moquer de ces accords internationaux mis en place par
les pays fondateurs du Sanctuaire en 1994. A l’époque, 23 pays avaient
signé l’accord, et le Japon fut le seul membre de la Commission
Baleinière Internationale à s’y opposer.
Les membres de la Cour Internationale de Justice (CIJ)
La
journée du 31 Mars 2014 marque peut être un tournant historique dans le
mouvement de défense des océans et pas seulement des baleines. En
effet, à la sortie de l'audience, le Japon s'est déclaré "très déçu mais
désireux de respecter la décision rendue" par le plus haut organe
judiciaire des Nations-Unies, la Cour Internationale de Justice de la
Haye.
Nous verrons ce qu'il en sera réellement à l'approche de la prochaine saison de chasse baleinière à l'automne prochain.
Si le Japon tient parole, l'essentiel de nos navires et tous les moyens que nous mobilisons depuis maintenant 10 ans pour faire respecter ce sanctuaire antarctique pourront être déployés sur d'autres missions. Nous pourrons enfin mener toutes ces batailles pour les océans aux quatre coins du monde, auxquelles nous avons été contraints de renoncer faute de navires suffisants.
L'arrêt effectif et définitif de la chasse baleinière en Antarctique serait donc une victoire non seulement pour les baleines du sanctuaire antarctique mais pour toutes les créatures marines que nous allons pouvoir secourir...
Le combat continue ! Et c'est grâce à vous !!!

Commentaire de Seasheperd :
Victoire pour les baleines! — La CIJ déclare illégale la chasse baleinière Japonaise "sous prétexte scientifique" en Antarctique
Sea
Shepherd applaudit la décision de la Cour Internationale pour la
protection qu’elle offre aux baleines du Sanctuaire Baleinier de l’Océan
Austral
Ce
procès contre le Japon s’est ouvert en juillet dernier à la CIJ, afin
de décider si oui ou non le Japon manque à ses obligations
internationales avec son programme JARPA II dans l’Océan Austral, mais
également pour demander l’interruption de ce programme de recherche
ainsi que la suspension de tous les permis accordés dans ce cadre
jusqu’à ce que le Japon apporte les preuves que ces opérations sont
conformes aux lois internationales.
Par
un vote de 12 voix contre 4, la CIJ a déclaré que les permis
scientifiques accordés par le Japon pour son programme de recherche
baleinière ne pouvaient être considérés comme de la "recherche
scientifique" telle que définie par la Commission Baleinière
Internationale. La cour a ordonné au Japon de révoquer tous les permis
scientifiques accordés dans le cadre du programme JARPA II, et a
également interdit la délivrance de tout nouveau permis dans le cadre de
ce programme.
En
décembre 2013, lors d’une réunion publique à Los Angeles en présence
des représentants de Sea Shepherd USA, même l’Ambassadeur du Japon aux
USA, Kenichiro Sasae, a déclaré au sujet des baleines et de la chasse
baleinière: "A titre personnel, j’aime les baleines et si vous les
observez bien, rien ne justifie qu’on tue cet animal adorable. Mais je
dirais qu’il s’agit d’Histoire et de Politique. Il n’y a qu’un petit
nombre de Japonais qui essayent encore de gagner ce combat. Mais la
majorité de la population japonaise ne mange plus de viande de baleine".
A cette même réunion, l’Ambassadeur Sasae a déclaré que le Japon se
plierait à la décision de la CIJ.
Les
équipages internationaux de bénévoles de Sea Shepherd Conservation
Society ont affronté les eaux hostiles et isolées de l’Antarctique
pendant 8 ans, puis Sea Shepherd Australie a pris la relève ces deux
dernières années, et continuera à se confronter aux baleiniers Japonais
en Antarctique jusqu’à ce que l’on puisse enfin faire cesser
définitivement le massacre dans ce Sanctuaire Baleinier International.
Au
cours de toutes ces années, Sea Shepherd a été la seule organisation à
intervenir de manière directe contre la chasse commerciale baleinière
japonaise conduite sous prétexte scientifique, bien que la dimension
scientifique de cette chasse soit largement contestée. En effet, Sea
Shepherd a souvent été le dernier rempart entre les baleines
majestueuses et les harpons, alors que ces espèces protégées de cétacés –
dont de nombreuses femelles pleines – migrent chaque année à travers
les eaux de l’Antarctique.
"Avec
la décision prise aujourd’hui, la CIJ a rendu un verdict juste et
équitable, du bon côté de l’Histoire, en protégeant les baleines du
Sanctuaire de l’Océan Austral et l’écosystème marin vital de
l’Antarctique, décision qui aura un impact sur la communauté
internationale et les générations futures", a déclaré le Capitaine Alex
Cornelissen de Sea Shepherd Global.
"Les
insatiables harpons Japonais ont conduit de nombreuses espèces de
baleines au bord de l’extinction, mais Sea Shepherd espère vivement qu’à
la suite du verdict de la CIJ, on ne parlera plus de la chasse
baleinière que dans les pages des livres d’Histoire," a-t-il déclaré.
"Malgré
le moratoire international sur la chasse commerciale, le Japon a
continué à tuer des milliers de ces doux géants des mers, dans un lieu
censé être un havre de paix," a déclaré Paul Watson, fondateur de Sea
Shepherd. "Sea Shepherd et moi-même, ainsi que des millions de personnes
sur toute la planète, espérons que le Japon respectera cette décision
de la Cour Internationale, et laissera les baleines vivre en paix."
Sea
Shepherd Global préparera tout de même ses navires pour un retour dans
l’Océan Austral en Décembre 2014, si toutefois le Japon décidait
d’ignorer ce verdict. Si la flotte japonaise est de retour, les
équipages de Sea Shepherd seront là pour forcer les baleiniers pirates
du Japon à respecter cette décision.
VICTOIRE POUR LES BALEINES !!!
Nous verrons ce qu'il en sera réellement à l'approche de la prochaine saison de chasse baleinière à l'automne prochain.
Si le Japon tient parole, l'essentiel de nos navires et tous les moyens que nous mobilisons depuis maintenant 10 ans pour faire respecter ce sanctuaire antarctique pourront être déployés sur d'autres missions. Nous pourrons enfin mener toutes ces batailles pour les océans aux quatre coins du monde, auxquelles nous avons été contraints de renoncer faute de navires suffisants.
L'arrêt effectif et définitif de la chasse baleinière en Antarctique serait donc une victoire non seulement pour les baleines du sanctuaire antarctique mais pour toutes les créatures marines que nous allons pouvoir secourir...
C'est donc aussi une énorme victoire pour tous ceux qui nous ont fait confiance et qui nous ont soutenu jusqu'ici.
Le combat continue ! Et c'est grâce à vous !!!
Réchauffement climatique : le rapport alarmant du GIEC
Réchauffement climatique : nouveau rapport alarmant du GIEC
Sécheresses, inondations, maladies, migrations, pénuries alimentaires, risques de conflit, etc. : le deuxième volet du cinquième rapport du groupe intergouvernemental d'experts de l'ONU sur l'évolution du climat (GIEC), publié lundi 31 mars, recense les impacts déjà observables du changement climatique.
Selon ce texte du GIEC, résultat d'un immense travail de lecture et
de compilation de douze mille publications scientifiques, le changement
climatique a eu ces dernières décennies des impacts « sur tous les continents et dans les océans », essentiellement sur les systèmes naturels.
Dans de nombreuses régions, le changement dans les régimes de
précipitations et la fonte des neiges et des glaciers ont modifié les
systèmes hydrauliques, « affectant les ressources en eau en quantité et en qualité ».
Le changement climatique a également eu un impact plus « négatif »
que positif sur la production alimentaire (blé et maïs). L'aire de
répartition, le nombre d'individus ou les pratiques migratoires de
nombreuses espèces marines et terrestres se sont modifiés.
Autant de constats qui poussent le GIEC à assombrir encore un peu plus ses perspectives sur les effets du rechauffement climatique au XXIe siècle. « La probabilité d'impacts graves, étendus et irréversibles s'accroît avec l'intensification du réchauffement climatique », avertit le GIEC.
Lire notre compte rendu du premier volet, publié en septembre : les experts du GIEC durcissent leur diagnostic
- Différents scénarios
Le GIEC parle de risques « élevés à très élevés » en cas de hausse moyenne des températures de 4° C par rapport à la période préindustrielle (« extinction substantielle d'espèces », « risques importants pour la sécurité alimentaire »), mais évoque des risques « considérables » dès un réchauffement de 1 à 2 °C.
Une augmentation d'environ 2 °C par rapport à la période préindustrielle pourrait entraîner une perte d'entre 0,2 et 2 % des revenus annuels mondiaux.
- Les pays du Sud davantage exposés à l'insécurité alimentaire
« Tous les aspects de la sécurité alimentaire sont potentiellement affectés », affirme le texte, notamment l'accès aux ressources et la stabilité des prix, dans un contexte où la demande mondiale va augmenter.
D'ici à la fin du XXIe siècle, le GIEC
prévoit une baisse globale des ressources des océans, quel que soit le
niveau de réchauffement. Sur terre, la production de blé, maïs et riz
devrait être affectée avec une hausse locale du thermomètre de 2 °C par rapport aux niveaux de la fin du XXe siècle, « même si certaines régions pourraient en tirer bénéfice ».
La carte des zones de pêche devrait être
redessinée, avec des espèces marines plus nombreuses dans les latitudes
moyennes et hautes, et en baisse autour des tropiques avec « de forts taux d'extinction au niveau local ».
La situation s'aggravera, selon le GIEC, après 2050, exposant davantage les pays d'Afrique et d'Amérique du Sud.
- Moins d'eau disponible pour l'agriculture
Le GIEC craint une réduction « significative » des eaux de
surface et souterraines dans la plupart des régions subtropicales
sèches, avec des impacts attendus sur la qualité de ces eaux.
Le texte évoque des risques de pénuries en Afrique, en Asie et dans le sud de l'Australie, et parle d'une pression potentiellement accrue sur les ressources disponibles en Europe (particulièrement dans le sud du continent, qui devrait être soumis à une chaleur plus forte) et en Amérique du Nord.
- Davantage de pauvreté
Le changement climatique va « ralentir la croissance économique, rendre plus difficile la réduction de la pauvreté (...) et [en] créer de nouvelles poches », notamment dans les villes, selon le rapport.
- Plus de conflits et d'insécurité
Le GIEC table sur une augmentation des déplacements de population, et des « risques de conflit violent » avec « une aggravation des facteurs classiques que sont la pauvreté et les chocs économiques ».
Risques de conflit entre Etats avec des rivalités autour de ressources
plus rares, comme l'eau ou les stocks de poissons, ou de nouvelles
opportunités générées par la fonte des glaces.
- Inondations et érosion
Selon le GIEC, ces phénomènes vont de plus en plus affecter les zones côtières et les basses terres en raison de la hausse du niveau de la mer. « La population et les biens exposés vont significativement augmenter » à cause de la croissance démographique et de l'urbanisation.
Par ailleurs, la proportion de la population affectée par des crues majeures va augmenter.
Le GIEC cite notamment les aires urbaines d'Europe, d'Asie et
d'Amérique latine, où l'urbanisation massive augmente les risques
d'inondations.
- Problèmes sanitaires
Le GIEC s'attend à une augmentation des problèmes de santé dans de
nombreuses régions, spécialement les pays en développement
(accroissement des vagues de chaleur intense, mauvaise nutrition ou encore maladies liées à la contamination de l'eau ou de la nourriture).
Le texte évoque notamment pour l'Afrique une modification de la
géographie des maladies dues aux changements du régime des pluies et des
températures.
- Des risques accrus d'extinction
Ces risques concernent « une large partie » des espèces terrestres et marines, dont de nombreuses « ne seront pas capables de se déplacer suffisamment rapidement pour trouver des climats plus adaptés » après le changement climatique.
Des écosystèmes marins cruciaux, comme ceux des pôles et les
barrières de corail, sont particulièrement exposés avec l'acidification
des océans. Une hausse de la mortalité des arbres pourrait survenir dans de nombreuses régions.
- Des solutions existent
« Les risques liés au changement climatique peuvent être réduits en limitant sa vitesse et son ampleur », rappelle le GIEC, qui préconise des mesures « d'adaptation » au réchauffement attendu.
Parmi les mesures préconisées dans le rapport : l'installation de
systèmes d'alerte, d'abris contre les cyclones et les inondations ; la
protection des mangroves pour épargner les côtes ; améliorer
le stockage d'eau et les techniques d'irrigation ; la création de
nouvelles pratiques agricoles ; de meilleurs programmes de vaccination ;
la création de zones protégées et l'identification de groupes
vulnérables ; la diversification de l'économie.
Ours polaire
Quand le monde prendra-t-il conscience du réchauffement climatique?
Cet ours polaire est mort de faim bien loin de son environnement. Il a voyage très loin de chez lui dans l'espoir de trouver à manger et et mort de faim. Ce n'est pas parce que c'est loin que l'impact n'est pas réel sur nous. Pas dans la seconde, certes, mais sous peu. L'équilibre se rompt un peu plus à chaque animal qui disparait, à chaque degré de plus. Ce sont les Inuits les plus touchés pour l'instant. Nous devons réagir maintenant, tous, individuels et gouvernements et cesser de rejeter la faute sur l'autre et attendre que l'autre fasse un effort pour en faire un.
Quelques liens pour plus de détails :
- sur l'effet du réchauffement climatique sur la vie des Inuits : http://news.nationalgeographic.com/news/2000/12/122900inuits.html
- un article écrit par des Inuits : http://inuitcircumpolar.com/index.php?ID=316&Lang=En
- la signification de l'ours pour les Indiens d'Amérique : http://www.whats-your-sign.com/native-american-bear-meaning.html
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