QU'EST CE QUE C'EST ???
C'est un parc
de cages à veaux issus de l'industrie laitière. Comme vous êtes
supposés le savoir, une vache doit rester enceinte pour produire du
lait.
Dès la naissance le veau est séparé de sa mère afin que ce lait puisse être récolté à destination de nos frigos.
Alors que la mère appelle son petit pendant plusieurs semaines,
celui-ci est engraissé dans cet endroit monstrueux d'où ses cris
n'atteindront ni vos oreilles, ni celles de sa maman déjà enceinte d'un
autre qui aura le même destin c'est à dire de finir dans vos assiettes.
Bon appétit...
PS : Le lait de riz est aussi bon et a les mêmes utilisations que le lait de vache.
http://arda-saintes.blogspot.fr/2012/08/elevage-intensif-de-veaux.html
http://animaux.l214.com/vaches-boeufs-bovins/vaches-sensibles
http://www.consoglobe.com/francais-opposes-elevage-intensif-cg
http://terresacree.org/concentr.htm
http://www.infossante.com/comment-les-fermes-industrielles-affectent-notre-sant/
http://www.animalrescuecrueltyinvestigations.be/Publication%20Le%20elevage%20industriel.html
http://www.dinosoria.com/elevage_industriel.htm
http://www.christian-jacquiau.fr/a-90-les-francais-rejettent-lelevage-intensif-26779
http://tpe-groupe-38.e-monsite.com/pages/iii-maltraitance-barbarisme-et-cruaute-animal.html
Conséquences sur la santé de l’animal
L’élevage intensif a des conséquences non négligeables sur la
santé des animaux. Le contrôle strict de la qualité de l’air et de la température, par exemple, n’y est pas possible. En 2003, au moins 2 millions de poulets et 35 000 porcs sont morts de chaleur suite à une canicule…
Et que penser également des brûlures dues au lisier,
conséquence d’une litière qui n’est pas changée pendant la phase de
croissance des poussins ? Les poulets de chair quant à eux, voient leurs muscles se développer trop vite. Leurs pattes et même leur cœur ont dû mal à suivre… En résultent de nombreux accidents cardiaques, et des troubles de la locomotion associés à des problèmes douloureux aux pattes (déformations, fractures …). En outre, les organismes, ainsi affaiblis, sont particulièrement sensibles aux germes. Ces élevages sont donc de potentiels foyers épidémiques particulièrement dangereux… Les antibiotiques y ont été largement utilisés à titre préventif, curatif, mais aussi – jusqu’en 2006 – comme stimulateurs de croissance.
Ils ont ainsi contribué à la sélection de souches bactériennes
résistantes, non seulement chez les volailles ou les porcs, mais
également chez l’homme…
Conséquences sur le comportement de l’animal
Le comportement de l’animal est lourdement affecté
dans les élevages intensifs. Ses besoins fondamentaux en termes de
comportement ne sont pas pris en compte. Les poules pondeuses son
enfermées de minuscules cages où elles ne peuvent pas bouger, les truies
ne peuvent se soustraire à leurs petits qui cherchent sans arrêt à
téter, les veaux sont tenus dans un état anémique (pour que leur viande
soit blanche) et loin de leur mère.
Les animaux subissent stress et souffrances multiples. Ils développent des comportements agonistiques
à l’égard de leurs congénères, stéréotypés, ou s’automutilent par ennui
ou frustration. La réponse des éleveurs est troublante : à la
caudophagie des porcs, on répond par la caudectomie ; au picage chez les
poulets, par le débecquage ; aux manifestations agressives des bovins,
par l’écornage et la pose d’œillères… Les manifestations physiologiques,
elles, bien sûr, perdurent : diminution de l’appétit et de l’activité
génésique, ulcères gastro-œsophagiens, affections cardio-vasculaires…
La pollution des eaux :
L'élevage intensif et agriculture intensive sont liés. Leurs effets se
cumulent pour polluer l'environnement et, en particulier les eaux,
souterraines et de surface. Dans le rapport ministériel « agriculture et
environnement » paru en 2005, il est écrit que la contamination des
eaux par les pesticides est préoccupante. Et en effet, il y est précisé
que : « 46 % des points surveillés en rivière relèvent de classes
moyennes à mauvaises, dépassant ainsi le seuil officiel de potabilité ;
ce taux est de 25 % pour les eaux souterraines.
Et il n'y a pas que les vaches, malheureusement :