jeudi 29 décembre 2011
lundi 19 décembre 2011
Ras les coussinets
Ce blog s'appelle Ras les coussinets et vous le trouverez ici.
Bonne lecture!
dimanche 18 décembre 2011
Cake au potimarron bio sans gluten
J'ai trouvé la recette originale, "cake au potiron", dans le magazine Santé Bio. Je la copie à la fin de cette article.
Voici la recette modifiée :
Ingrédients :
- 400g de potimarron bio
- 200g de farine de riz bio
- 2 pincées de poudre d'écorce de citron bio
- 1 sachet de levure chimique bio
- 100g de beurre végétal bio
- 100g de sucre mascobado bio et équitable
- 3 oeufs bio
Recette :
Faîtes cuire le potimarron, soit en détaillant des cubes que vous faîtes cuire dans une poêle ou au four, soit en mettant les deux moitiés de potimarron (sans les graines) au four micro-onde avec une demi-tasse d'eau pendant 8-10 minutes (repère : la chaire doit être en purée quand vous la détachez). Réservez.
Mêlez le beurre et le sucre jusqu'à ce que le mélange soit crémeux.
Ajoutez les oeufs, puis la farine, la levure et la poudre d'écorce de citron.
Mélangez bien puis ajoutez le potimarron. Amalgamez bien.
Mettez au four pour 10 minutes à 200°C puis 30-35 minutes à 175°C.
Ce cake est moelleux et fondant, un vrai délice. Il reste quelques petits morceaux de chair de potimarron, c'est très bon.
J'ai déjà mis moins de sucre que la recette originale, je pense que j'en mettrai encore moins la prochaine fois. Le sucre mascobado bio a beaucoup de parfum et un fort pouvoir sucrant car il n'est pas raffiné. Je tenterai aussi en mettant davantage de potimarron.
Recette originale :
- 400g de potiron
- 200g de farine
- 2 pincées de cannelle
- 2 pincées de quatre épices
- 2cc rases de levure chimique
- 125g de beurre mou
- 125g de sucre
- 3 oeufs à température ambiante
La recette est à peu près la même. Le temps de cuisson est un peu différent : 15 minutes à 190°C puis 40 minutes à 175°C.
jeudi 8 décembre 2011
Les américains inventent un café plus calorique qu'un double cheeseburger !
Les américains inventent un café plus calorique qu'un double cheeseburger !
Certains cafés proposés pour les fêtes de Noël par les chaînes de café américaines contiennent plus de calories qu'un double cheeseburger! Quelques gorgées équivalentes à un repas complet...
Par exemple, un Venti EggNog Latte de Starbucks contient 570 calories, soit 140 de plus qu'un double cheeseburger, explique le "DailyMail". Il contient également 24g de graisses saturées - plus de 20g au-dessus de la dose quotidienne recommandée pour une femme - et 74g de sucre, l'équivalent de 18 cuillères à café!
Le sucre consommé en excès peut se révéler nocif pour la santé. Outre l'apparition de caries, il provoque obésité, maladies cardiaques, diabète et, d'après certains experts, pourrait même favoriser certains cancers.
Starburcks n'est pas la seule chaîne de café à proposer ce genre de boissons hautement caloriques. Chez Costa, on trouve le chocolat chaud Forêt Noire avec ses 548 calories. Chez Nero, le chocolat chaud à la cannelle (487 calories), etc.
Comme quoi, le café qui réconforte face au froid de l'hiver peut faire presque plus de dégâts sur votre balance que votre repas de Noël...
(7sur7Sydney/ca)
Source : Wikistrike
mercredi 7 décembre 2011
Le droit de planter et cultiver librement bientôt interdit ?
Le droit de planter et cultiver librement bientôt interdit ?
PAR SOPHIE CHAPELLE (24 NOVEMBRE 2011)
Les industries et multinationales semencières veulent rendre les paysans captifs… grâce à la loi. Les députés doivent examiner le 28 novembre un texte instaurant une « contribution volontaire obligatoire » : une véritable dîme sur les semences. Ressemer librement sa propre récolte ou échanger des variétés de plantes deviendra illégal. Soucieux de préserver l’autonomie alimentaire, des paysans et des citoyens entrent en résistance.
Photo : source
Demain, graines et semences ne seront peut-être plus libres. Des agriculteurs s’inquiètent d’une proposition de loi votée par les sénateurs le 8 juillet dernier, et déjà appliquée par décret aux productions de blé tendre. S’ils veulent conserver une partie de leur récolte pour la ressemer l’année suivante (quoi de plus naturel ?), les producteurs de blé tendre doivent payer une redevance appelée « Contribution volontaire obligatoire » (sic). « L’enjeu de cette nouvelle proposition de loi est d’étendre ce mécanisme à tous les paysans, alerte Guy Kastler, du Réseau semences paysannes. Chaque fois qu’on cultivera un hectare, ils prendront un peu d’argent de nos poches pour payer les détenteurs de propriété intellectuelle. » La loi prévoit de considérer la reproduction de semences à la ferme, sans payer cette dîme moderne à leurs « propriétaires », comme une contrefaçon [1]. La récolte pourra alors être saisie.
Qui sont ces propriétaires de semences à qui la « contribution volontaire » sera reversée ? Depuis 1949, toute variété de semence mise sur le marché doit obligatoirement être inscrite sur le catalogue géré par l’Office communautaire des variétés végétales (OCVV), dont le siège est à Angers [2]. Cet office accorde un droit de propriété intellectuelle, d’une durée de 25 à 30 ans, à « l’obtenteur », celui qui a sélectionné cette variété. Les principaux détenteurs de ces « certificats d’obtention végétale » [3] ne sont autres que les grandes multinationales semencières : Bayer, Limagrain, Monsanto, Pioneer, Vilmorin ou Syngenta. Tous réunis au sein de l’Union française des semenciers, qui aurait fortement appuyé le projet de loi.
Rendre les paysans captifs
« Le fait que l’obtenteur soit rétribué pour son travail de recherche ne nous pose pas de problème, explique Jean-Pierre Lebrun, un maraîcher biologique à la retraite. En revanche, nous sommes opposés à ce que ces obtenteurs récupèrent des taxes sur le travail de sélection que nous menons dans nos fermes. » Avec d’autres paysans et des consommateurs soucieux de préserver l’autonomie alimentaire, Jean-Pierre a fait le déplacement à Angers ce 19 novembre pour « débaptiser » l’OCVV, renommé « Office communautaire de la confiscation des semences ». Un geste symbolique qui en dit long sur les menaces pesant sur l’avenir de notre alimentation.
Yves Manguy, agriculteur à la retraite, connaît bien les semences de ferme, ces graines récoltées à partir de variétés sélectionnées par l’industrie semencière, mais multipliées par l’agriculteur lui-même par souci d’économie et d’indépendance. Pour cet ancien porte-parole de la Coordination nationale pour la défense des semences fermières (CNDSF), l’objectif des firmes semencières est clair : « Elles veulent instaurer un marché captif, que les agriculteurs achètent leurs semences et qu’ils n’en fassent plus chez eux. La loi en préparation consiste non pas à interdire complètement mais à restreindre un maximum le droit des semences à la ferme. » Le texte propose ainsi d’autoriser la semence de ferme pour seulement 21 espèces – en échange du paiement de la Contribution volontaire obligatoire – et d’interdire cette pratique pour toutes les autres espèces.
« Ce n’est pas la recherche qu’ils veulent rémunérer mais les actionnaires »
Pourquoi cette redevance ? Officiellement, pour financer la recherche. Actuellement, 85 % des sommes récoltées par la Contribution volontaire obligatoire sont reversées directement aux obtenteurs, et 15 % servent à alimenter le Fonds de soutien à l’obtention végétale en blé tendre. « Les objectifs de sécurité et de qualité alimentaire doivent être définis par le public, et non par les seules recherches de profits des entreprises semencières privées », argue la Confédération paysanne. D’après le syndicat, l’application de la proposition de loi entraînerait un prélèvement supplémentaire sur le revenu des agriculteurs français estimé à 35 millions d’euros. « La recherche doit être financée aussi par le public et non par les seuls agriculteurs. Il convient de mettre en place un mécanisme de financement public de la recherche », estime la Confédération paysanne. Le syndicat suspecte l’Union française des semenciers de vouloir d’ailleurs tripler la redevance (environ 3,50 euros par hectare aujourd’hui).
Des carottes illégales et des choux clandestins
Non loin de l’Office communautaire des variétés végétales, sur la place du Pilori, dans une rue piétonne d’Angers, se déroulent les rencontres des semences paysannes et fermières d’Anjou. Ici, des artisans semenciers partagent une même passion, celle de la sélection, de la conservation, de la multiplication et de l’échange des semences. François Delmond est membre de l’association Les Croqueurs de carottes, qui sauvegarde les variétés potagères traditionnelles menacées de disparition. Sur le stand, plusieurs variétés de carottes et de choux rouges sont proposées à la dégustation. Les réactions varient du « surprenante, celle-là » au « celle-ci a un goût de noisette très fort, vous ne trouvez pas ? ». Pour François, ces dégustations sont l’occasion de montrer l’impact des choix variétaux sur la qualité gustative.
« Ce que vous mangez est une variété de carotte illégale car elle a été radiée du catalogue, elle ne respectait pas les critères », explique François à une passante. Entre 1954 (date d’existence du premier catalogue des variétés de plantes potagères) et 2002, 80 % des variétés ont été radiées du catalogue, à cause d’une réglementation de plus en plus contraignante. « Ce que nous voulons, c’est la liberté de faire notre travail en âme et conscience, la liberté du jardinier de semer la variété qu’il veut et la liberté du consommateur d’accéder à des aliments différents. » Une liberté qui contribue à l’augmentation et à la conservation de la biodiversité cultivée, à la réduction de l’utilisation des pesticides ainsi qu’à l’essor de variétés adaptées à leurs terroirs et aux variations climatiques.
Rébellion contre la dîme des multinationales
Une campagne pour une loi de reconnaissance positive des droits des agriculteurs et des jardiniers sur les semences vient d’être lancée par plusieurs organisations. « Les droits des agriculteurs de conserver, ressemer, échanger et vendre leurs semences, les protéger de la biopiraterie et des contaminations par les OGM brevetés, et de participer aux décisions nationales concernant la biodiversité cultivée sont reconnus par le Traité international sur les semences approuvé en 2005 par le Parlement français », rappelle Anne-Charlotte Moÿ, en charge des questions juridiques au Réseau semences paysannes. Or, une succession de règlements européens et de lois nationales conduisent progressivement à leur interdiction totale.
La proposition de loi relative aux certificats d’obtention végétale doit être débattue le 28 novembre à l’Assemblée nationale. Il est encore possible de participer à la cyberaction, qui a déjà recueilli plus de 14 000 signatures, et unrassemblement est prévu devant l’Assemblée. « Il nous faut rester mobilisés, avertit Guy Kastler, afin de ne pas abandonner l’alimentation à quelques firmes multinationales. » Il y a trois siècles, les paysans versaient la dîme ou étaient contraints à des corvées au profit du seigneur local, propriétaire des terres... Aujourd’hui, cette domination s’est déplacée vers les semences.
Sophie Chapelle
Notes
[1] Lire à ce sujet Comment les semenciers tentent d’asservir l’agriculture paysanne.
[2] Pour être inscrites, les variétés doivent répondre à trois critères : la distinction (la variété doit être nettement distincte de toute autre variété notoirement connue) ; l’homogénéité (la variété est suffisamment uniforme dans ses caractères pertinents) ; la stabilité (la variété reste conforme à la définition de ses caractères essentiels après avoir été reproduite ou multipliée).
[3] En Europe, on utilise le terme de « certificat d’obtention végétale », qui protège une variété. Son équivalent outre-Atlantique est le brevet, qui protège l’information génétique contenue dans une même variété. Du coup, il arrive qu’une plante fasse l’objet d’un double droit de propriété intellectuelle...
source : bastamag
Source : Wikistrike
mardi 6 décembre 2011
Téléthon = vivisection 2
(Reprise d'un article publié sur Internationalnews en 2007)
Chaque année avant Noël, la France est prise d’une fièvre de générosité dont les médias font une kermesse, un concours du plus généreux en exhibant de pitoyables images d’enfants atteints des maladies dites “orphelines” (belle trouvaille publicitaire pour faire pleurer dans les chaumières). Mais où va donc l'argent du téléthon ?
Le téléthon célèbre chaque année les progrès de la génétique, ses possibles performances curatives. Qu'en pensez-vous ?
"C’est scandaleux. Le Téléthon rapporte chaque année autant que le budget de fonctionnement de l’Inserm tout entier. Les gens croient qu’ils donnent de l’argent pour soigner.
Or la thérapie génique n’est pas efficace.
Si les gens savaient que leur argent va d’abord servir à financer des publications scientifiques, voire la prise de brevets par quelques entreprises, puis à éliminer des embryons présentant certains gènes déficients, ils changeraient d’avis.
Le professeur Marc Peschanski, l’un des artisans de cette thérapie génique, a déclaré qu’on fait fausse route. On progresse dans le diagnostic, mais pas pour guérir. De plus, si on progresse techniquement, on ne comprend pas mieux la complexité du vivant.
Faute de pouvoir guérir les vraies maladies, on va chercher à les découvrir en amont, avant qu’elles ne se manifestent. Cela permettra une mainmise absolue sur l’homme, sur une certaine définition de l’homme.
Source: medecines-douces.com
CSOJ - Téléthon et recherche - JacquesTestart par PolEtTique
PortailHandicap: Téléthon, la grande escroquerie
Depuis 15 ans, un milliard d’euros collecté en général chez des personnes pas riches, est tombé dans la cagnotte de l’AFM qui s’entête à reverser les dons à une thérapie génique pourtant de plus en plus reconnue comme illusoire. B. Jordan directeur de recherches au CNRS dit :
“La communauté médico-scientifique, dont les gènes sont le fonds de commerce, nourrit le grand public d’illusion”.
Malgré les annonces claironnantes, amplifiées par la presse, les manipulations génétiques ne sont pas maîtrisées par les chercheurs : par exemple les conséquences d’une seule manip peuvent se montrer après plusieurs générations et en variant selon les gènes alors rencontrés donc au plus grand hasard.
Qui peut donc prétendre prévoir les conséquences pour l’avenir des hommes ? Même Ian Wilmut, le “père” de la brebis Dolly (morte de vieillesse à 6 ans, ne l’oublions pas) avoue : “Le plus incroyable, c’est notre incompréhension des mécanismes moléculaires”.
Les laboratoires du “génie” génétique - publics ou privés - sont esclaves des impératifs économiques et tendent tous à breveter, donc à s’approprier le vivant : plantes, animaux, hommes sont dans la main de savants fous.
Les savoir n’est plus accessible au public mais dans leurs mains, et ils nous disent ce qu’ils veulent, ne reculant pas devant les mensonges les plus révoltants : la thérapie génique qu’ils nous présentent comme un miracle, la guérison et même la prévention de tous les maux du futur, n’est qu’un Bluff.
L’expert Marc Péchanski écrit dans “Thérapie génique du rêve à la dure réalité scientifique” (dans Médecine/Sciences 5 Mai 99) : “Il nous faut comprendre pourquoi... ça ne marche pas”.
Des chercheurs bouffis d’orgueil refusent de l’avouer et continuent à présenter le gène non seulement comme la clé de toute la médecine de l’avenir mais, pire, le promoteur du Généthon, Alain Cohen se réjouit : “Je crois en la possibilité d’une nouvelle évolution biologique humaine consciente et provoquée”. C’est-à-dire qu’Hilter serait content et Dieu va avoir honte, lui qui avait fait naître des noirs, des handicapés, et toutes ces erreurs...
Le grand public, conditionné par une progagande médiatique accueille béatement la thérapie génique, comme le montre le succès grandissant du Téléthon.
Quel bénéfice peut-on en espérer raisonnablement aujourd’hui ? A l’hôpital Necker deux des neuf nourrissons traités par une thérapie génétique que les docteurs ont déclaré “réussie” ont développé une leucémie peu de temps après. Nos grands savants ont oublié de nous le dire ! Entêtés, ils disent que ça va bien “finir par marcher” et cet engouement de nos contemporains devient une fois mystique dans le gène, bloquant les autres recherches en biologie car le lobby de l’ADN reçoit presque tous les crédits à lui seul.
Les enfants frappés par la “myopathie de Duchenne” - seulement des garçons- ne parviennent pas à fixer une enzyme qui permet la maturation des muscles. Comme tous les nouveaux-nés ont des muscles lents, on pourrait dire qu’ils sont tous myopathes à ce stade mais il arrive que la testostérone (hormone mâle) libérée après la naissance, bloque cette maturation d’où la tragique tare. L’application d’un gel progestérone dans les premières heures empêcherait cette tragédie mais il ne coûte que 2 euros donc il n’intéresse aucun laboratoire. Il vaut mieux battre le tambour du Téléthon et gaspiller chaque année des millions d’euros !
On trompe : les cœurs généreux qui donnent leur tikatsou, souvent de petits retraités anonymes alors que des enseignes connues font savoir à grand bruit le nombre admirable de zéros écrits sur leurs chèques (jamais de leurs poches). On trompe : les dévoués bénévoles qui se fatiguent à organiser manifestations et collectes : ils sont loin de se douter qu’ils donnent leur fatigue à de grands labos qui n’ont jamais rien pu pour un seul myopathe.
On trompe les familles qui se raccrochent à l’espoir.
Où va votre argent ?
A ces labos qui prétendent tester produits et médicaments en torturant longuement des chiens, chats volés à leurs maîtres, des labradors spécialement élevés pour la torture, des singes spécialement importés, alors qu’on sait que les résultats sur un animal ne veulent rien dire pour l’humain, alors qu’on peut aujourd’hui expérimenter sur des cellules-souches, à moindres frais et sans torture. A moindre frais, c’est un avantage pour nous, ignorants, pas pour ces labos qui “justifient leurs gros frais” de fonctionnement en répétant indéfiniment les mêmes tortures depuis 40 ans.
Où va votre argent ?
Il semblerait qu’il alimente en grande partie les “progrès” de l’arme bactériologique et l’arme au laser : il n’est pas perdu ! Et la recherche sur la cryo : conservation dans la glace des cadavres (de millionnaires uniquement) en attendant la découverte d’un traitement pour leur maladie, ça c’est une recherche qui marche bien.
D’où vient l’argent ? Quand vous aurez vu clair, vous donnerez vos sous à d’autres souffrances, la Terre n’en manque pas.
PS Comme mon “pavé dans la mare” va épouvanter plusieurs, qui refuseront de le croire, voyez : • Pratiques de Santé n°26 Déc. 03 Santé Port Royal 65 rue C. Bernard BP 189 75226 Paris Cedex 05 • Pro Anima 16 rue Vézelay 75008 Paris • L’Ecologiste Printemps 01 et Juin 03 www. ecologiste. org.
Source : PortailHandicap, le 11 Décembre 2005
http://www.clicanoo.com/article.php3?id_article=118812
Photo: Premiere
Cet article a été publié le 7 décembre 2007 sur IN et reproduit par de nombreux sites (qui se disent "sérieux"...), sans aucune mention de leur source!
Exemple : La grande escroquerie du Téléthon - Plume de presse / archives
La grande escroquerie du telethon
Les dons du téléthon iront-ils aux dirigeants du téléthon ?
En complément:
Le Téléthon créé son laboratoire pharmaceutique http://www.lefigaro....rmaceutique.php
Url de cet article:
http://www.internationalnews.fr/article-la-grande-escroquerie-du-telethon-62224673.html
lundi 5 décembre 2011
Téléthon = vivisection


je vous mets en garde contre cette arnaque à la générosité tous les ans, et je suis contente de trouver des articles prouvant que je ne suis pas la seule à avoir cet avis.
lire ceci, trouvé sur un blog :
http://www.internationalnews.fr/article-la-grande-escroquerie-du-telethon-62224673.html
Le grand public, conditionné par une progagande médiatique accueille béatement la
thérapie génique, comme le montre le succès grandissant de téléthon
Quel bénéfice peut-on en espérer raisonnablement aujourd’hui ?
A l’hôpital Necker deux des neuf nourrissons traités par une thérapie génétique que les
docteurs ont déclaré “réussie”
ont développé une leucémie peu de temps après
Nos grands savants ont oublié de nous le dire ! Entêtés, ils disent que ça va bien “finir
par marcher” et cet
engouement de nos contemporains devient une fois mystique dans le gène, bloquant les
autres
recherches en biologie car le lobby de l’ADN reçoit presque tous les crédits!
Les enfants frappés par la “myopathie de Duchenne” – seulement des garçons- ne
parviennent pas à fixer une enzyme
qui permet la maturation des muscles. Comme tous les nouveaux-nés ont des muscles
lents, on pourrait dire qu’ils sont tous myopathes à ce stade mais il arrive que la
testostérone (hormone mâle) libérée
après la naissance, bloque cette maturation d’où la tragique tare.
L’application d’un gel progestérone dans les premières heures empêcherait cette
tragédie mais il ne coûte que 2 euros
donc il n’intéresse aucun laboratoire. Il vaut mieux battre le tambour du Téléthon et
gaspiller chaque année des millions d’euros !
On trompe : les cœurs généreux qui donnent leur tikatsou, souvent de petits retraités
anonymes alors que des
enseignes connues font savoir à grand bruit le nombre admirable de zéros écrits sur
leurs chèques (jamais de leur poche). On trompe les dévoués bénévoles qui se fatiguent
à organiser manifestations et collectes: ils sont loin de se douter qu'ils donnent leur
fatigue à de grands labos qui n’ont jamais rien pu pour un seul myopathe.
On trompe les familles qui se raccrochent à l’espoir.
Où va votre argent ?
A ces labos qui prétendent tester produits et médicaments en torturant longuement des
A moindre frais, c’est un avantage pour nous, ignorants, pas pour ces labos qui
“justifient leurs gros frais” de
fonctionnement en répétant indéfiniment les mêmes tortures depuis 40 ans.
Où va votre argent ?
Il semblerait qu’il alimente en grande partie les “progrès” de l’arme bactériologique et
l’arme au laser : il n’est pas perdu!
Et la recherche sur la cryo : conservation dans la glace des cadavres (de
millionaires uniquement) en attendant la découverte d’un traitement pour leur maladie,
Quand vous aurez vu clair, vous donnerez vos sous à d’autres souffrances, la Terre
Source : Blog VGBio
Une histoire d'amour et de recyclage
Ps : Traduction de la fin pour les non-anglophones : "Si vous voulez voir une fin plus heureuse, dîtes au gouvernement anglais que vous voulez moins de déchets et plus de recyclage."
vendredi 2 décembre 2011
Je suis les règles d’or du tri sélectif
Je suis les règles d’or du tri sélectif
Il paraît que nous les Français avons recyclé la bagatelle de 2.973 millions de tonnes d’emballages ménagers soit l’équivalent de 1.87 millions de tonne de CO₂ évitées. Et pourtant, il reste beaucoup de progrès à faire, notamment en matière de tri sélectif.
REGLE n°1 du tri sélectif
Selon Eco-emballages, en 2003, le taux de recyclage des emballages ménagers du programme Eco-emballages n’était que de 63%. En comptant les emballages industriels, on arrive à un taux de recyclage de 44% en France. Mais attention : recyclable ne veut pas dire recyclé. Ce n’est pas parce qu’un produit porte le logo Recyclable (la boucle ou anneau de Moëbius) que le produit sera forcément recyclé en fin de vie.
Ceci dit, si on ne trie pas dans nos domiciles, aucune chance de recycler en aval.
1 / Je mets dans le bac de tri :
- Les emballages en acier et aluminium (canettes, boites de conserve broyées et fondues à 1600°C, aérosols, …)
- Les emballages en papier et carton (boite de céréales, de gâteaux, …)
- Les briques alimentaires (brique de lait, de soupe, …)
- Tous les journaux et les revues (sans leur film plastique)
- Pour le plastique, je trie uniquement les bouteilles et flacons (bouteille d’eau, flacon de liquide vaisselle, gel-douche ou shampoing, …)
REGLE n°2 du tri sélectif
2 / Je mets dans le conteneur à verre :
- Les bouteilles, bocaux, pots et autres contenants.
- La vaisselle, la porcelaine, la faïence ne se recyclent pas.
- Le verre, qui lui aussi est recyclable, est souvent collecté dans des conteneurs dédiés (mais parfois, il faut le mettre avec le carton et les boites de conserves). Mélangé à d’autres produits, le verre se casse et rend le recyclage impossible.
- Déposez le verre, sans bouchon, ni couvercle.
> Voir le recyclage du verre
Exemple : les instructions de la ville de Lyon (1)
Recyclables (silo à verre) | Non-recyclables (bac gris) |
- bouteilles, bocaux, flacons, - pots de confiture, de yaourt | - ampoules - verre brisé, vaisselle - bouchons, couvercles… |
*
REGLE n°3 du tri sélectif
3) Je m’équipe d’une poubelle pratique
- Une poubelle facilement accessible et facile à utiliser permet d’avoir le réflexe tri sélectif.
- Affichez près de la poubelle, les règles de tri en vigueur dans votre commune (cela change selon où on habite).
- Notre poubelle préférée (et de loin) Ovetto, la poubelle de tri design !
REGLE n°4 du tri sélectif
4) Je me passe d’emballages et donc de déchets à trier
- Acheter des produits ayant moins d’emballages (en vrac, en grandes portions, …) à chaque fois que possible. Cela diminue d’autant le besoin de trier.
- Les emballages représentent toujours une part trop importante de notre poubelle. C’est 50% en volume et 30% en poids des millions de tonnes d’ordures ménagères produites chaque année par les Français.
Selon une étude réalisée par Eco-Emballages, publiée le 16 novembre 2007, la quantité d’emballages utilisés en France entre 1994 et 2006 diminue : le nombre de tonnes d’emballages produits a diminué de 5%.
Voir le Planetosocope : Le nombre d’emballages jetés par les Français
*
REGLE n°5 du tri sélectif
5) Je ne lave pas les emballages avant de les jeter
- Il suffit de bien vider les emballages pour éviter qu’ils ne salissent les autres déchets.
. - Laver les emballages consomme de l’eau ; de l’eau qu’il faudra ensuite retraiter pour la rendre à nouveau potable.
REGLE n°6 du tri sélectif
6) Je compacte tout ce qui peut prendre moins de place
- Compressez les bouteilles, écrasez les emballages et boites en carton, … afin de diminuer le volume de vos poubelles.
- Le volume des poubelles coûte cher, et pas seulement leur poids.
*
REGLE n°7 du tri sélectif
7) Je composte le plus de déchets verts possible
Les déchets végétaux (épluchures, ….) prennent beaucoup de place dans une poubelle.
- Les mettre en compost permet d’alléger le poids des poubelles.
. - Voir la boutique et les composteurs
REGLE n°8 du tri sélectif
J’évite les sacs plastiques
- Les sacs plastiques sont en eux-mêmes une vraie plaie mais ils ont un 2ème inconvénient en ce qui concerne les déchets recyclables.
- Si vous placez vos déchets dans un sac en plastique, vous empêchez le tri des déchets en centre de tri.
- Il faut placer ses déchets recyclables en vrac dans la poubelle de tri sélectif (la poubelle verte à Lyon par exemple, Violette à Marcq en Baroeul, etc)
Le tri sélectif des emballages plastique
Recyclables (bac vert) | Non-recyclables (bac gris) |
- bouteilles en plastique (avec leur bouchon) - flacons opaques - bouteilles ayant contenu de l’huile | - pots de yaourt, de crème fraîche, de fromage blanc - barquettes plastiques (ou en polystyrène) |
REGLE n°9 du tri sélectif
9 ) J’évite tous les produits toxiques
- De nombreux produits sont toxiques et à ne PAS jeter avec les produits recyclables
. - Les bidons d’huile ou de peintures, les produits chimiques comme les déboucheurs liquides, les morceaux de ferraille, les fers à repasser, téléviseurs, chaîne hi fi, … sont à amener en déchetteries.
*
Pour aller plus loin sur le tri sélectif
Le tri sélectif des objets métalliques
Recyclables (bac vert) | Non-recyclables (bac gris) |
- boîtes de conserve, barquettes alu - cannettes de boisson, bidon (sirop) - aérosols | - bidons de pétrole - morceaux de ferraille, fer à repasser, cintres… A porter en déchetterie |
Le tri sélectif des emballages en carton
Recyclables (bac vert) | Non-recyclables (bac gris) |
- briques alimentaires - boîtes et emballages en carton | - cartons souillés |
Le tri sélectif des journaux et du papier
Recyclables (bac vert) | Non-recyclables (bac gris) |
- journaux, magazines et prospectus - feuilles de papier Voir Le papier recyclé | - papiers gras ou souillés, cartons de pizza - papiers peints, papiers calque, mouchoirs - filtres à café, couches-culottes… 1 enfant = 4.500 couches jetées aux ordures = 4,5 arbres = 25 kg de plastique obtenus avec 67 kg de pétrole brut. |
Le dossier de l’Enclo Ecolo sur le recyclage
Les astuces recyclage des déchets de Consommer durable
*
(1) Les images de cet article sont issues du site de conseils que la ville de Lyon a mis en ligne pour ses habitants et correspondant à son classement de tri sélectif (grandlyon.com/Les-consignes-de-tri.2204.0.html)